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Filière Céréales (Blé dur, blé tendre, orge, avoine et riz)

Amélioration de la production céréalière nationale dans le contexte du changement climatique

La filière céréalière occupe une place prépondérante dans l’économie du pays en raison de son importance socioéconomique de taille et son rôle essentiel dans la sécurité alimentaire. Le climat caractérisé par des aléas affecte la production céréalière nationale sur les plans quantitatif et qualitatif. Cette caractéristique est d’autant plus accentuée avec le changement climatique et rend le défi d’atteindre des performances supérieures pour cette filière encore plus grand.  

Quelques chiffres clés :
4,6 millions ha de superficie (Moyenne 2015-2019) couvrant 59% de la SAU nationale.
90% de cette aire de culture est conduite en régime pluvial (2019)
80,4 millions qx de production (Moyenne 2015-2019) contre 59 millions qx comme moyenne entre 2004 et 2008
66,4 millions qx d’importations (Moyenne 2016-2020) contre 40,8 millions qx comme moyenne entre 2003 et 2007 pour couvrir les besoins nationaux établis à 210 kg/personne/an

Objectifs :
1. Améliorer la productivité des céréales à travers le développement de nouvelles variétés pour faire face au changement climatique et répondre aux exigences des utilisateurs
2.  Concevoir  une  gestion  intégrée  pour une intensiï¬cation durable de la production céréalière Évaluer et améliorer la qualité techno- logique et nutritionnelle des produits céréaliers  et  les  valoriser  par  mise  au point de produits fonctionnels
3. Évaluer et améliorer la qualité technologique et nutritionnelle des produits céréaliers et les valoriser par mise au point de produits fonctionnels
4. Analyser la chaîne de valeur, les mécanismes de gouvernance et de coordination des acteurs de la ï¬lière céréalière

Partenaires :
Directions ministérielles ou établissements publics de développement  DDFP, DSS, DEFR, ADA, ONCA, ONSSA Professionnels : FIAC, FNIS, FNIR
Partenaires scientiï¬ques et académiques : IAV HII, ENAM, Univ. Bailleurs de fonds : ICARDA, UE (PRIMA), Australie, IFAD

Filière Légumineuses alimentaires (Fève, féverole, pois chiche et lentille)  

Amélioration de la productivité et valorisation des légumineuses alimentaires pour un meilleur développement agricole durable  

Les légumineuses alimentaires sont importantes pour l’agriculture marocaine grâce à leurs multiples rôles, que ce soit sur le plan nutritionnel à travers leur apport en protéines végétales et en micro- éléments essentiels, ou bien sur les plans agronomique et environnemental, en particulier grâce à leur parfaite insertion dans la rotation des cultures dans les systèmes céréaliers et leur fixation de l’azote dans le sol. Malgré ces atouts, les rendements moyens des légumineuses alimentaires restent instables et en deçà de leurs potentiels. Ceci peut être expliqué par la prédominance des systèmes de production traditionnels basés sur l’utilisation des variétés locales, une faible mécanisation des pratiques agricoles et une sensibilité aux maladies, ravageurs et plantes parasites. La conjugaison de tous ces facteurs, associés aux effets du changement climatique, rendent les rendements relativement faibles et instables avec des coûts de production élevés engendrant une faible rentabilité.   

Quelques chiffres clés :
400 mille ha de superficie couvrant 6% de la SAU nationale et constituant le second assolement des grandes cultures au Maroc derrière les céréales.  
3,2 Millions qx de production avec un rendement moyen de 8 qx/ha 290 mille qx d’importations qui sont essentiellement des lentilles canadiennes pour satisfaire la demande.  

Objectifs:
1. Améliorer la production des légumineuses  alimentaires au Maroc par le développement de nouvelles  variétés  en combinant des techniques classiques d’amélioration génétique avec l’utili- sation des nouveaux outils de bio technologies
2.  Améliorer les  techniques  de  produc- tion  des   légumineuses  alimentaires  et leur protection  par une meilleure compréhension  de la situation des stress biotiques  et la mise en place de tech- niques de lutte intégrée
3. Développer  des produits fonctionnels à haute valeur ajoutée  à partir des produits issus des graines de légumi- neuses  alimentaires  
4. Analyser la chaîne de valeur, les mécanismes de gouvernance et de coordination des acteurs de la ï¬lière légumineuses alimentaires    
 
Partenaires: Directions ministérielles ou établissements publics de développement : DDFP, DSS, DEFR, ADA, ONCA, ONSSA Professionnels : FIAC, FNIS, FNIR  
Partenaires scientiï¬ques et académiques : IAV HII, ENAM, Univ.

Filière Oléagineux annuels Colza, Sésame, Tournesol
Amélioration de la productivité, de la qualité et de l’adaptation des cultures oléagineuses et valorisation technologique des variétés marocaines  

La filière oléagineuse, représentée au Maroc en majorité par le tournesol et le colza, jouit d’un certain nombre d’avantages qui lui permettent d’asseoir une place privilégiée dans le contexte agricole marocain. Cependant, la productivité des cultures oléagineuses se trouve affectée par les effets du changement climatique, notamment la récurrence de la sécheresse et des hautes températures.   

Quelques chiffres clés :
21,1 mille ha de superficie (Moyenne 2015-2017)
450 mille T est le volume du marché marocain des huiles de table
1.1millions T est le volume du marché marocain des tourteaux
1,7% Taux de couverture des exportations (2019)  

Objectifs :
1. Améliorer  la  productivité  et l’adaptation   aux   stress   abiotiques   du colza et du sésame  à travers le développement de nouvelles ressources génétiques  
2. Améliorer le train technique des oléagi- neux annuels
3. Caractériser la qualité agro-industrielle des variétés oléagineuses  de l’INRA et formuler une huile combinée de plusieurs graines   
 
Partenaires: Directions ministérielles ou établissements publics de développement : DDFP, DEFR, ONCA, ONSSA, DRA Fès-Meknès, DRA  Rabat-Salé-Kénitra, ORMVAT, ORMVAG, ORMVAL Professionnels : FOLEA Industriels ou promoteurs de technologies : GIOM  

Partenaires scientiï¬ques et académiques : ENAM, Univ. Meknès,  Univ. Béni Mellal, Univ. Fès

Filière Fourrages:
Amélioration de la production des cultures fourragères pour des systèmes d’élevages durables  

Le développement des cultures fourra- gères au Maroc est une nécessité pour redresser le déï¬cit global des disponibili- tés alimentaires pour le cheptel national. Ce  déï¬cit, conjugué à  l'accroissement démographique  induit une détérioration des disponibilités  en denrées animales, viandes et lait. L’extension des superï¬cies, la diversiï¬cation des espèces et l'amélio- ration de la productivité  des ressources fourragères demeurent des lignes d’intervention  prioritaires  pour satisfaire cette demande et combler ainsi ce déï¬cit croissant.   

Quelques chiffres clés :
540 mille ha de superficie, représentant 6% de la sole marocaine (2018)
19 Millions T de matière verte équivalent à 2,1 milliards d’Unités Fourragères
8% de contribution dans le bilan alimentaire du cheptel national,

Objectifs:
1. Promouvoir la production fourragère à travers la création variétale et l’exploitation de  la diversité  des ressources    génétiques   fourragères locales
2. Améliorer la productivité et la résilience des  systèmes  fourragers  par l’adoption des techniques de production et de conservation performantes et adaptées   
 
Partenaires: Directions ministérielles et établissements publics de développement : DDFP,  ONCA, DRA Rabat-Salé-Kénitra, DRA Tanger-Tétouan-Al Hoceima, ORMVASM Professionnels : AMMS, Coopératives   
Partenaires scientiï¬ques et académiques : ICARDA,  Univ.  Rabat,   Univ.  Kénitra,   Univ. Tanger, IAV HII

Filière Olivier  
Amélioration de la productivité, de la durabilité et de la compétitivité de l'oléiculture marocaine face  aux changements globaux  

La ï¬lière oléicole revêt une grande importance et constitue l’une des ï¬lières prioritaires de la nouvelle stratégie Génération Green 2020-2030. Les plantations d’olivier ont  nettement progressé ces dernières années mais les rendements sont restés faibles à cause de la non maîtrise des techniques de production, et l’utilisation  d’un matériel génétique  peu diversiï¬Ã©. Cette situation constitue une menace pour le secteur oléicole à cause de la vulnérabilité potentielle  du matériel existant aux effets du changement climatique et aux maladies et ravageurs comme l’œil  de paon, la verticilliose,  la tuberculose et la mouche de l’olivier  qui entraînent chaque année des  pertes importantes, en  plus  des  maladies de quarantaine,  principalement  le syndrome de déclin rapide lié à la bactérie Xylella fastidiosa,  qui représente une véritable menace pour notre oléiculture.   

Quelques chiffres clés :
1,1 millions ha de superï¬cie  ce qui représente
12,3% de la SAU du Maroc et 65% des superï¬cies  arboricoles  (2019).
1,5 millions T de production moyenne entre 2016 et 2020 avec 170 mille T d'huile d'olive et 120 mille T des olives de table 100 mille T d’exportation  moyenne entre 2016 et 2020 dont 30 mille T d’huile d’olive et de grignon et 70 mille T d’olive de table (interpolive 2021).

Objectifs :
1. Sélectionner de nouvelles variétés d’olivier productives,  compétitives et résilientes aux changements globaux  
2. Augmenter la productivité  de l’olivier et renforcer sa durabilité  et sa résilience par une gestion efficiente et durable  de l’irrigation et de la fertilisation
3. Améliorer la protection phytosanitaire des oliveraies
4. Évaluer la vulnérabilité des oliveraies marocaines    à     l’attaque    de     Xylella fastidiosa    en  adoptant  les  nouvelles approches de détection  
5. Valoriser les produits de l’olivier notamment sur  les  plans qualité et authenticité pour de meilleures perspectives sur les marchés nationaux et inter- nationaux.  

Partenaires
Directions ministérielles et établissements publics de développement : DRA, DPA, ONSSA, ONCA, ORMVA

Professionnels : INTERPROLIVE

Industriels ou promoteurs de technologies : SOWIT

Partenaires scientifiques et académiques : IAV HII, ENAM, Univ., UM6P, APNI, ICARDA, INRAE, Sup-Agro, COI, UE, UCO

Filière Agrumes  
Amélioration de la productivité et de la compétitivité des agrumes

La ï¬lière agrumicole constitue un levier de développement   socio-économique pour le  Maroc.  Cependant, les  rendements restent très modestes par rapport à ceux réalisés dans d’autres pays producteurs, très variable à  l’échelle   nationale et dépend  largement du matériel génétique planté, des conditions pédoclimatiques des régions de culture et des itinéraires techniques pratiqués.   

Quelques chiffres clés :
129 mille ha de superï¬cie (2019)
 2,4 millions T/an de production dont 650 mille destinées  à l’export 4 milliards MAD de chiffre d’affaire en devises   
18 T/ha comme rendement moyen, relativement faible par rapport aux réalisations des pays concurrents sur le marché international  
70% des emblavements en variétés de cÅ“ur de saison  

Objectifs :
1. Fournir un matériel végétal performant (porte-greffes et greffons) permettant d’augmenter le rendement, étaler la production, réduire la durée de mise  
2. Développer de nouvelles méthodes de lutte alternative à la lutte chimique contre les parasites des agrumes pour une perspective d’amélioration de la productivité et de la qualité  
3. Améliorer l’efficience d’utilisation de l’eau et des nutriments pour une meilleure durabilité et compétitivité de la filière agrumicole   
 
Partenaires
Directions ministérielles et établissements publics de développement : DRAs, ONSSA, ONCA, ORMVAs, DPAs Professionnels : MAROC CITRUS, ASPAM, ATIL (Association Tadla pour l’irrigation localisée), MISE  
 
Partenaires scientifiques et académiques : IAV HII, Univ. Kénitra, Univ. Beni Mellal, et Univ. Marrakech

Filière Palmier dattier  
Amélioration de la productivité et de la compétitivité du palmier dattier

La  palmeraie marocaine, constituée principalement de plantations tradition- nelles le  long des  oueds et  autour de points d’eau éparpillés sur le flanc sud du Haut  Atlas,  connaît  actuellement une nouvelle dynamique. En  effet,  l'État  a supporté  des   investissements pour  la création de  nouvelles plantations à l’extérieur des oasis aï¬n d’atteindre  ses objectifs d’intensiï¬cation  et de moderni- sation de la ï¬lière. L’INRA, principal acteur de la recherche  agronomique, est appelé à soutenir ce dynamisme dans le cadre de la nouvelle   stratégie   Génération   Green 20-30 à travers une contribution effective à  la  reconstitution de  la  palmeraie en fournissant un matériel génétique perfor- mant et  en nombre suffisant, l’optimisation des principales techniques culturales  pour améliorer  la productivité, la durabilité et la résilience de la phÅ“nici- culture et la valorisation  de la ï¬lière en conférant une valeur ajoutée à  ces produits..   

Quelques chiffres clés :
6.9 millions de pieds représentant 6% du patrimoine phoenicicole mondial
140 mille T/ an de production (2019)
+50% du revenu annuel des oasiens 30 à 40 mille souches bourgeonantes produite annuellement par l’INRA depuis 2015 pour subvenir aux besoins nationaux en production des vitroplants
2,5 millions de palmiers issus de semis ‘khalts’ offrant une diversité génétique et une source inépuisable pour la sélection   

Objectifs :
1. Contribuer à la reconstitution de la palmeraie par la sélection, la multiplication et la conservation des ressources génétiques phoenicicoles  
2. Améliorer la productivité et la durabilité du palmier dattier à travers l’économie de l'eau, la gestion de la fertilité des sols et l’optimisation des techniques de production  
3. Améliorer la productivité et la durabilité du palmier dattier à travers la gestion phytosanitaire intégrée de la palmeraie marocaine  
4. Valoriser le savoir-faire phoenicicole traditionnel et contribuer à la mise en place d’une industrie dattière à grande valeur ajoutée   
 
Partenaires
Directions ministérielles et établissements publics de développement : DRAs, DDFP, ORMVAT, ORMVAO, DPAs sud, ONSSA, ONCA, ANDZOA

Professionnels : FIMADATTES, GIEs

Industriel ou promoteur de technologie : Domaines Agricoles, Issemghy Biotechnology, Palmagro, In Vitro Palm Biotechnology, Oasis Biotechnologie, Maghreb Palm, Marrakech Date palm Project  
 
Partenaires scientifiques et académiques : SNFRA, Univ. Massachussetts, Univ. Texas Tech, FST Errachidia, UM6P, Univ. Oujda, FST Marrakech, FS El Jadida, FST Safi, FS Marrakech, Univ. Marrakech

Filière Arboriculture Pommier, Prunier, Amandier, Figuier, Grenadier, Caroubier, Avocatier, Vigne  
Amélioration de la durabilité et la compétitivité de la production fruitière et viticole  

Les filières arboricoles traitées dans ce mégaprojet concernent une gamme diversifiée d'espèces. Bien que les contraintes subies sont distinctes, le diagnostic de ces filières établi des besoins similaires en connaissances et en technologies pour accompagner leur essor dans le cadre de la stratégie Génération Green 2020- 2030.   

Quelques chiffres clés :
2 millions T/an de production dont 700 mille T de pommier et 230 mille T de vigne (2019)
420 mille ha dont 44% est cultivés par l’amandier  

Objectifs :
1. Collecter, conserver et étudier le comportement des génotypes des espèces fruitières en vue de caractériser et sélectionner les plus performants  
2. Améliorer les techniques culturales pour une dynamisation et gestion durable des systèmes de production arboricoles  
3. Améliorer la gestion phytosanitaire et la durabilité des systèmes de production arboricoles et viticoles  
4. Développer la qualité et les processus de transformation des productions fruitières   
 
Partenaires
Directions ministérielles et établissements publics de développement : DRAs, ONSSA, ONCA, ORMVAs, DPAs Professionnels : FEDAM, FIMABIO, AMPP, GIEs

Industriels ou promoteurs de technologie : Domaines Agricoles, Domaine Bio Béni Mellal, Moroccan almonds international  
 
Partenaires scientifiques et académiques : ENAM, IAV HII, Univ., Centre de Recherche sur la Biodiversité, UCL-Belgique, Univ. Lyon 1, Univ. Champagne Ardenne

Filière Maraîchage
Amélioration de la productivité et de la compétitivité de la filière maraîchère  

La filière maraîchère est l’une des filières les plus dynamiques du secteur agricole marocain. En plus de la satisfaction des besoins du consommateur marocain, elle présente un fort potentiel à l’export et ne cesse de consolider son positionnement que ce soit dans les marchés traditionnels qu’émergeants. Afin de conforter cette position, il est primordial de continuer à moderniser et innover pour faire face à l'augmentation des coûts de production et à un environnement qui s’avère hostile à la durabilité de la filière.   

Quelques chiffres clés :
280 mille ha de superficie dont 15% occupée par des primeurs
7 millions T de production dont 8% destinée à l’export 550 mille T d’exportation des tomates principalement sur le marché européen (EACCE, 2020) 54 mille T est la production de maraîchage bio sur une superficie qui avoisine les 1 800 ha 35% des pesticides appliqués au Maroc, (1,46 kg/ha) concernent les cultures maraîchères (ONSSA, 2015)  

Objectifs :
1. Développer la connaissance des ressources génétiques horticoles et améliorer les techniques de production durables des cultures maraîchères  
2. Développer des moyens de lutte alternative aux ravageurs des cultures maraîchères  
3. Améliorer la productivité des cultures maraîchères biologiques sous serre et en plein champ   
 
Partenaires
Directions ministérielles et établissements publics de développement : DRA, ONCA, ONSSA, DSS Professionnels : FIFEL, APEFEL, FIMABIO  
 
Partenaires scientifiques et académiques : IAV HII CHA, Univ. Agadir, Univ. Rabat, Univ. Meknès, Univ. Oujda, Univ. Settat.

Filière Fruits Rouges
Contribution au développement de la filière des petits fruits rouges  

La filière des fruits rouges se révèle hautement rentable dès lors que les conditions favorables sont réunies. Des cultures qui affichent une croissance à la fois rapide et soutenue avec des productions destinées essentiellement à l’export. Le périmètre du Loukkos, qui est considérée comme principal bassin de production, compte une vingtaine d’unités de conditionnement et de surgélation installées pour la majorité par des investisseurs délocalisés. Ce périmètre dispose en effet de plusieurs atouts qui expliquent cette dynamique. D’abord, la ressource hydrique qui ne fait pas défaut. Ensuite, la proximité des marchés européens qui a favorisé l’installation de producteurs et exportateurs européens. Le tout, stimulé par les incitations à l’investissement contenues dans les stratégies de développement agricole. Avec les incitations visant en particulier la diversification de la filière, les cultures des myrtilles et des framboises ont été introduites entre 2005 et 2008 dans le périmètre du Loukkos. Depuis, elles sont en extension remarquable. La filière des petits fruits rouges vient de se doter récemment de sa Fédération interprofessionnelle. Celle-ci regroupe deux collèges d’opérateurs composés des associations professionnelles existantes.   

Quelques chiffres clés :
9 650 ha de superficie de fruits rouges (Interproberries 2020)
202 mille T de production dont 70% de fruits de fraisier (Interproberries 2020)
6 milliards MAD de chiffre d’affaire 4/5ème de la production nationale est concentrée dans le périmètre Loukkos  

Objectifs :
1. Développer de nouvelles variétés de fraisier pour la production locale  
2. Améliorer l’état nutritionnel et optimiser l’utilisation des pesticides sur la fraise et les petits fruits rouges par une protection intégrée et écologique  
3. Valoriser et améliorer la qualité des petits fruits rouges par l’utilisation des technologies appropriées   
 
Partenaires
Directions ministérielles et établissements publics de développement : DRA Tanger-Tétouan-Al Hoceima, Ch. A, ONCA, ONSSA.

Professionnels : Interproberries

Industriels ou promoteurs de technologie : ATLAS BERRY, DERAFRODT, FELGAR  
 
Partenaires scientifiques et académiques : IAV HII, ENAM, ENFI, Univ. Tétouan, Univ. Tanger (FST), Univ. Marrakech.

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