Le Maroc a investi depuis 20 ans dans le développement d’un système novateur baptisé CGMS-Maroc (Crop Growth Monitoring System). Cet outil de prévision est appelé à s’améliorer. Son évolution, comme le relève un livre publié par l’INRA, devra inclure tous les acteurs concernés, à savoir scientifiques, décideurs et surtout usagers finaux (assureurs, agriculteurs, conseillers), pour co-construire des services climato-intelligents adaptés aux réalités du terrain.

L’INRA vient de publier un livre inédit axé sur la gestion des risques climatiques dans l’agriculture. Ce document intitulé « CGMS-Maroc, le système d’alerte à la sécheresse et de prévention des rendements céréaliers au Maroc » est le fruit d’une collaboration entre l’INRA, l’Institut agronomique Hassan II, la Direction générale de la météorologie et la Direction de la stratégie et des statistiques. Cet ouvrage présente le système CGMS-Maroc et formule une feuille de route ambitieuse pour faire progresser ce mécanisme. L’objectif étant de promouvoir l’adoption élargie de CGMS-Maroc par l’ensemble des parties prenantes du secteur agricole, en faisant une solution digitale de pointe pour relever les défis posés par l’accroissement des risques climatiques à la sécurité alimentaire du pays.

Source : aujourdhui (Edition Electronique du 22/04/2024)

 

 

INRA vient de publier un livre inédit axé sur la gestion des risques climatiques dans l’agriculture. Ce document intitulé «CGMS-Maroc, le système d’alerte à la sécheresse et de prévention des rendements céréaliers au Maroc est le fruit d’une collaboration entre l’INRA, l’Institut agronomique Hassan II, la Direction générale de la météorologie et la Direction de la stratégie et des statistiques. Cet ouvrage présente le système CGMS-Maroc et formule une feuille de route ambitieuse pour faire progresser ce mécanisme. L’objectif étant de promouvoir l’adoption élargie de CGMS-Maroc par l’ensemble des parties prenantes du secteur agricole, en faisant une solution digitale de pointe pour relever les défis posés par l’accroissement des risques climatiques à la sécurité alimentaire du pays.Source : aujourdhui (Edition Electronique du 22/04/2024)