Ce travail a йtudiй l’effet de l’oпdium seul et combinй а quatre niveaux d’eau sur le dйveloppement des parties aйriennes et des racines de l’orge. L’inoculation par l’oпdium seul s’est traduite par une rйduction importante du nombre et de la taille des racines secondaires, adventives et par une rйduction significative du poids sec des tiges et des racines chez les plantes inoculйes. L’effet combinй de l’oпdium et du stress hydrique a entraЊnй un flйtrissement rapide et mкme la mort chez les plantes inoculйes. Les plantules d’orge infectйes tфt dans la saison par l’oпdium sont trиs vulnйrables а la sйcheresse tardive, mкme si les symptфmes de la maladie disparaissent juste aprиs l’arrivйe des grandes chaleurs.
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Peu d'information est disponible sur les niveaux de production des caprins locaux du nord du Maroc, cependant, ['utilisation de la chèvre locale, adaptée aux conditions de la région et réputée pour son potentiel laitier, est une option qui devrait être envisagée comme voie complémentaire à l'introduction de la génétique exotique pour le développement de la filière laitière dans la région. Dans ce contexte, le présent travail a pour objectif d'évaluer les performances de reproduction, de croissance des jeunes et de production laitière de la chèvre locale du nord du Maroc en conduite intensive. Les données ont été collectées durant les années 2005 et 2006 au domaine expérimental de Boukhalef rattaché au Centre Régional de la Recherche Agronomique de Tanger relavant de l'Institut National de la Recherche Agronomique. L'analyse des données a montré que les taux de fertilité et de prolificité moyens sont respectivement de 72 % et 149 %. Les poids de portée à la naissance et au sevrage sont respectivement de 3,5 kg et 14.1 kg. Le poids moyen des chevreaux à la naissance, 30 jours et 70 jours sont respectivement de 2,4, 6,3 et 10,1 kg. La vitesse de croissance moyenne est estimée à 123 g/j de 10 à 30 jours et de 97 g/j de 30 à 70 jours. La production laitière par chèvre et par an est estimée à 202 kg pour une durée de lactation de 179 jours. La production laitière des chèvres multipares est plus élevée que celle des primipares (P0,05), cependant cette production n'est pas affectée par la taille de la portée (P0,05). Les teneurs moyennes en matière sèche, matière grasse, protéine et lactose du lait sont respectivement de 13,3, 3,5, 3,7 et 3,3 %. Ces valeurs augmentent avec l'avancement de la lactation. L'application des normes d'hygiène au moment de la traite permet de produire un lait de qualité hygiénique élevée puisque 95 % des échantillons du lait analysés présentent une charge bactérienne inférieure aux normes des différentes flores analysées. La présente étude a permis de conclure que compte tenu de ses potentialités de production et d'adaptation à l'environnement où elle évolue, la chèvre locale du nord du Maroc présente des atouts pour le développement de la production laitière caprine.
Un essai a été réalisé en 1998 pour évaluer l’effet de quatre densités de semis du blé (150, 200, 250 et 300 grains/m2) sur la croissance, Le développement et Le rendement de l’avoine stérile. Les résultats ont montré que toutes les densités de blé ont réduit le nombre de talles et le nombre de feuilles vertes par pied, la matière sèche et la hauteur de l’avoine. stérile avec des résultats similaires d’une densité à l’autre. Les pertes de rendement de l’avoine stérile étaient également similaire et elles ont varié de 2,44 qx/ha à la densité 150 plantes/m2 à 2.79 qx/ha à la densité de 300 plantes/m2. De plus, le rendement en grain du blé a varié de 12 qx/ha à la densité de 150 plantes/m2 à 14 qx/ha à la densité de 300 plantes/m2. Ainsi les plus grandes pertes de rendement ont été obtenues avec les densités les plus fortes pour l’avoine stérile et les plus faibles pour le blé. De là , les faibles densités de blé permettent aux plantes d’avoine stérile de produire plus de graines, augmentant ainsi le potentiel infectieux pour la saison suivante.
Une analyse des performances de reproduction, de viabilité et de croissance des agneaux a été réalisée à partir des données recueillies au niveau de la station expérimentale El Koudia de l’Institut National de la Recherche Agronomique sur 467 brebis de race Boujâad. Ces dernières ont été accouplées en race pure et en croisement avec les races de béliers D’man, Ile de France et Lacaune rameau viande. Les résultats ont montré que la race du bélier a eu un effet hautement significatif sur la fertilité, le poids de la portée et les performances pondérales de la naissance à 90 jours d’âge, mais elle n’a eu aucune influence sur la taille de la portée de la brebis et la viabilité des agneaux à la naissance et à 90 jours d’âge. La race Boujâad a réalisé les performances les plus faibles, excepté pour la fertilité et la viabilité des agneaux. Le croisement de la brebis Boujâad avec les béliers de races Ile de France et Lacaune a donné les meilleurs gains de poids et productivité pondérale par brebis à 3 mois après la mise bas. L’âge de la brebis et l’année de naissance n’ont pas eu d’effet significatif excepté pour le poids de la portée à 90 jours. A tout âge, les agneaux nés simples de sexe mâle ont réalisé une croissance supérieure à celle des femelles. L’année de naissance a eu un effet significatif sur les performances pondérales des agneaux. Il a été conclu que les races de béliers Ile de France et La caune peuvent améliorer le poids total sevré par la brebis de race Boujaad.
Ce travail vise à quantifier et à qualifier la croissance et le développement sous serre de cyperus rotundus L. qui est une mauvaise herbe de la plaine irriguée de Triffa (Maroc oriental). L’ensemble des résultats est résumé comme suit: La croissance souterraine est beaucoup plus importante que la croissance aérienne. Après analyse du LWR (Leaf Weight Ratio), TWR (Tuber Weight Ratio) et RRhWR (Root and Rhizome Weight Ratio), il s’est avéré que l’adventice tend au début de son cycle vital à former son système racinaire et son appareil aérien avec un début d’initiation de la tubérisation. Par la suite, la plante a plutôt tendance à favoriser la tubérisation, pour stocker le surplus des hydrates de carbone synthétisé au niveau du feuillage. L’analyse du RGR (Relative Growth Rate), a montré que le maximum de gain journalier de matière sèche est obtenu durant le premier mois après la plantation des tubercules avec 0,12 g/jour.
La présente étude a porté sur l’évaluation de l’effet de l’incorporation des grains de lupin (Lupinus albus multolupa) à raison de 18.5, 9 et 0 de matière sèche (MS) de la ration totale en substitution à 29, 15 et 0 de féverole. Les régimes testés sont isoazotés, 14 de matières azotées totales (MAT), et contiennent 30 de foin de vesce-avoine et différentes proportions d’orge. Les résultats obtenus montrent que le régime alimentaire n’a pas d’effet significatif (p.05) sur le gain de poids, les quantités ingérées, l’indice de conversion et le rendement vrai en carcasse. Les données respectives aux régimes A, B et C sont de 190, 167 et 171 g/j pour le gain de poids ; 72, 73 et 73 g MS/kg 0.75/j pour les quantités ingérées ; 6.44, 6.67 et 6.64 kg MS/kg de gain de poids pour l’indice de conversion et 51.3, 52.1 et 52.5 pour le rendement vrai en carcasse. Trois agneaux par régime étaient utilisés pour la mesure de la digestibilité in vivo et pour le bilan azoté. L’effet du régime était non significatif (p.05) sur la digestibilité de la matière sèche, la matière organique (MO) et les matières azotées totales (MAT) mais significatif (p.05) sur celle du NDF et ADF. Les coefficients de digestibilité respectifs pour les régimes A, B et C sont de 70, 66 et 65 pour la MS ; 73, 70 et 69 pour la MO ; 67, 67 et 66 pour les MAT ; 69, 64 et 58 pour NDF et 66, 61 et 52 pour ADF. Pour le bilan azoté, les animaux ont retenus 4.35, 3.53 et 3.55g/j respectivement pour les régimes A, B et C sans différence significative (p.05).
La quantite de rosee recue dans les zones semi-arides est importante et necessaire pour la croissance et le developpement des plantes de maïs. Par consequent, il faudra l’inclure dans l’equation de la balance d’eau pour le maïs non irrigue. Etant donne le role important de la rosee dans ces zones; la quantite recue et absorbee par la plante du maïs doit etre etudiee dans les zones de doukkala, abda et chaouia. Les resultats obtenus peuvent aider l’ameliorateur dans la selection de types de plantes de mais qui ont les caracteres morphologiques les plus adequats pour mieux croitre et se developper dans les conditions climatiques dans ces regions.
Resume de la these relative aux resultats des travaux concernant certains points de developpement et de la reproduction de sesamia nonagrioides ainsi que des observations effectuees dans le gharb sur les relations sesamia-canne a sucre.
Etude ayant pour objectif la determination de l’effet de la population végétale et du génotype sur les relations croissance, developpement et besoin en eau pour les cereales, afin de voir si l’eclaircissage affecte l’humidite du sol durant la periode de reproduction.