Le présent travail est une contribution à l'étude des problèmes de gestion des irrigations des agrumes dans le contexte édapho-climatique d'El Menzeh dans la région de Gharb. L'essai a été conduit dans le Domaine Expérimental El Menzeh. Cette étude a été portée sur les arbres de Navel greffé sur le citrange Troyer planté sur un sol sableux et dont le système d'irrigation est converti en micro-jet en 2006. Cette étude a pour objectifs de déterminer les besoins en eau et les effets de la dose d'irrigation sur la croissance, la production et la qualité des fruits des agrumes. Cinq niveaux d'irrigation ont été testés (120%, 100%, 80% 60% et 40% d'ET). Les résultats acquis à travers les observations sur le végétal et le fruit montrent que la réduction de la dose d'irrigation a provoqué une diminution de la croissance végétative, du calibre final des fruits et du rendement en jus et enfruits. Par contre, elle a amélioré le taux de sucre et l'indice de maturité (taux de sucre! acidité). L'apport d'une dose d'irrigation réduite à 80% d'ET.c a pu maîtriser l'excès de vigueur mais elle n'a pas eu d'effet ni sur le rendement ni sur la qualité des fruits.
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Résultats des essais entrepris de 1980/81 à 1987/88 sur l’amélioration pastorale et des cultures fourragères à l’unité régionale d’élevage bovin-zouada près de larache. L’aptitude culturale a été elaborée moyennant un relevé pédologique et des essais d’adaptation. Sur sols sableux, des mélanges de tréfle souterrain ont fourni des prairies productives et persistantes ; sur sols alluviaux des mélanges de festuca arundinacea ôgrombaliaô , trifolium fragiferum ôpalestineô et trifolium subterraneum ôtrikkalaô ont été introduits. L’assolement triticale -lupin- vesce/avoine est le meilleur choix sur sols sableux, et le maïs et sorgho fourragèrs pour les sols alluviaux. L’utilisation de semences inoculées et enrobées, le semis direct, la technique d’amélioration pastorale sans semis par fertilisation et controle de mauvaises herbes dicotyledones, l’interêt de semis avec plante-abri ainsi que l’influence de la densité de semis de tréfle souterrain ont été mis en évidence. Des recommandations de fertilisation ca, n, p, k ont été données pour les principales cultures fourragères et pastorales. L’entretien des prairies à légumineuses par l’emploi de basagran et m et mcpa et des prairies graminéennes par des herbicidees antidicotylédons a été mis au point.
Etude de l’effet du gel sur la qualite technologique de la canne a sucre et le pouvoir germinatif des borgeons lateraux. Cette etude permettera par ailleurs de detecter une eventuelle sensibilite ou tolerance au gel de certaines varietes.
Dans le present travail, l’auteur etudie les variations au cours de l’annee des temperatures mesurees a dix et vingt centimetres de profondeur a la station experimentale du guich des oudaias a rabat et les compare aux temperatures enregistrees sous abri. Divers caracteres de l’evolution thermique de l’air et du sol sont rapidement discutes et des zones d’equilibre sont mises en evidence. En outre, les principales differences, dues a l’influence de la vegetation, entre le regime thermique du sol sableux du guich et du jardin d’essais sont soulignees.
Dans le present travail, l’auteur etudie les variations au cours de l’annee des temperatures relevees a vingt, quarante et soixante centimetres de profondeur dans un sol sableux (r’mel) du jardin d’essais de la recherche agronomique de rabat. Ces temperatures sont comparees a celles enregistrees sous abri et a vingt centimetres du sol. Les resultats des mesures sont presentes sous trois aspects complementaires: - les variations thermiques au cours de l’annee; - les profils thermiques; - le regime thermique. Ce dernier est base sur la repartition des isothermes suivant la verticale. Il se degage ainsi des zones d’equilibre thermique, distinctes de l’enregistrement sous abri: zones stationnaires et noyaux isothermiques dont l’importance biologique est a souligner. Un noyau isothermique estival et une zone stationnaire hivernale se remarquent durant le jour a vingt centimetres du sol. Un noyau isothermique estival, a vingt centimetres dans le sol, et hivernal, a vingt centimetres du sol, peuvent etre observes la nuit alors que des temperatures stationnaires se remarquent a vingt centimetres dans le sol en hiver et a vingt centimetres du sol en ete. D’autres mecanismes regissant l’interaction des temperatures de l’air et du sol sont rapidement discutes. Des conclusions d’ordre pratiques sont soulignees.